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il y a 7 ans
Un pari ABDL stupide
Suite à un pari, un homme se retrouve obligé de porter des couches pendant une semaine...
« - 20...
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50...
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100...
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150...
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300 ! » Là, je sus que j'avais bu trop de bières et que je venais de dire une connerie.
La règle fondamentale est de ne jamais s'engager dans un « pari de bar ». Un pari de bar est un pari qu'on va faire, sans se rappeler pourquoi et il a aussi toutes les chances d'être foireux.
Vous commencez avec quelques verres dans le nez. Vos potes montent la combine ; un d'entre eux vous chauffe en buvant avec vous. Les autres limitent la descente et font comme s'ils ne croyaient pas que vous êtes capable de relever le défi.
A la fin de toute façon, tout le monde se foutra de votre gueule.
300 euros c'est tout de même une somme surtout quand vous en devez déjà 500 à votre pote qui vous les réclame depuis 3 semaines.
Quoi qu'il en soit je venais d'engager 300 euros sur le pari le plus stupide qu'on puisse imaginer et qui se résumait à peu près à « porter des couches au boulot pendant une semaine. » Je ne me rappelle plus comment on était arrivé là. Il me semble que ça avait commencé avec les règles de Cathie, braqué vers la blonde de la compta avant de finir sur la jupe entrouverte de la standardiste de chez Adecco.
Je rentrais chez moi, m'écrasais sur le divan face à un reportage animalier sur la hyène et m'endormais en maudissant Yves, Jacques et les autres c... du boulot.
Dans un « pari à bar », plus vous êtes cuit, plus les autres en rajoutent. Evidemment, je devais cinq jours en Pampers avant le 12 et on était vendredi 7, ou plutôt samedi 8.
Histoire que je n'oublie pas, Yves me rappela tout cela sur un SMS. J'émergeais donc samedi matin, un mal de crâne à faire péter l'ampoule et des emmerdes en perspective. Pour compléter le tout, je dus promettre à Véro de dîner avec elle le jeudi prochain.
J'avais arrêté le rugby pour Sophie et Sophie m'avait plaquée. Du coup, j'étais très prudent avec mes nouvelles conquêtes même si on pratiquait tous les deux la course à pied (et abandonner la course à pied ne me gênerait pas trop).
Je décidais de passer un week-end au vert, c'est -dire deux jours « poireau » en survêt à glander dans l'appart'.
Vers 16 heures, je sortis faire quelques courses vu que le chat me réclamait du lait depuis deux jours. Au milieu du magasin, mon mobile se mit à piailler sur l'air de la Toccata.
« - Salut vieux ; juste pour te dire qu'il te reste 4 jours.
- Connard (regards courroucés de la mère de famille rayon pâtes, gondole spaghetti, étagère Lustucru).
(rires) » Je raccrochais furieux et je me pris un pack de six pour oublier Yves. Tandis que je gagnais la caisse, je m'arrêtais au rayon « bébé ». Je restais cinq minutes à regarder les différents paquets de couches.
Je trouve que ça fait peur d'avoir un môme ; comment savoir quelles couches il lui faut ? Si vous ajoutez à cela, les tétines, le lait maternel et tout le reste, vous vous enfuyez de la maternité avant même la naissance du monstre.
Finalement, je tendis la main vers un paquet PAMPERS - Baby-Dry Extra large Couches unisexe 16-30 kg et me précipitait sur la première caisse.
Ma concierge me regarda avec suspicion le paquet de couches sous le bras. Je suis sûr que tout l'immeuble à partir du cinquième étage (plus de soixante-cinq ans) saurait dès aujourd'hui que je devais « avoir une petite amie avec un e n f a n t. ».
Heureusement, ma mère n'habitait pas l'immeuble.
Le chat gorgé d'UHT enrichi ultra-vitaminé, j'ouvrais le paquet de couches. Hésitant quelques minutes, je baissais finalement mon jogging, mon shorty et m'essayais à mettre ce machin débile.
Deux options : ou je perdais 50 kg ce qui est un peu difficile pour un mec d'1.87m, ancien rugbyman ou j'allais devoir vachement tiré sur la couche. Je tirais, elle se déchirât. J'allais en prendre une autre lorsque je me rendis compte que les rideaux de la salle à manger n'étaient pas tirés.
Immédiatement, je rentrais la quincaillerie et balançait un coup de pied dans le paquet de couches qui vola dans la cuisine. Il dut rencontrer le chat car il y eut un miaulement.
Je partis me faire un cinéma.
Rentré à minuit deux films plus tard, j'allais me coucher non sans avoir flanqué le paquet de Pampers à la poubelle ; dix euros de foutus en l'air.
Chapitre 2 - Au boulot
Je bosse dans une boîte d'informatique à la hot line pour des clients abrutis qui nous appellent dès qu'ils ont perdu une icône sur leur bureau. On a organisé un palmarès de l'appel le plus neuneu. Pour l'instant Suzie garde son avance avec celui-qui-peut- pas-lancer-son-ordi-parce-que-il-a-oublié-la-disquette-dans-le-lecteur-deux-jours-de- suite (véridique).
Je réussis à éviter Yves et la clique de vendredi du moins jusqu'à 17 heures. Mail.
« Salut Bambi, tiens voila quelques liens pour toi : http://www.tena.com, http://www.hartmann-online.com , http://www.poise.com. J-2. » Je hurle « putain » ce qui me vaut de la part de Suzie un « macho de merde ». Je rentre chez moi sans passer au bar. Soirée vidéo, chips, câlin au chat avant de lui filer une claque pour lui apprendre que je ne suis pas une branche d'arbre.
Mardi, je suis en déplacement d'urgence chez un client. Une cliente, en fait, Directrice des Ventes d'une boîte qui vend de la lingerie. Ca va peut-être vous surprendre mais les fanfreluches, ça ne m'excite pas. Ca a l'air de surprendre aussi la fille ; quand je pars, je l'entends dire à sa secrétaire « ...certainement un frigide.».
Il est midi ; j'appelle le boulot pour dite que je serais pris aussi l'après-midi. Ils s'en foutent ils facturent à l'heure et personne ne vérifie les factures.
En fait, je me rends dans un cybercafé et je cherche sur le Web où on peut trouver des produits pour incontinence sur Paris. J'ai ouvert une fenêtre de navigateur de la taille d'un timbre poste avec deux autres qui pointent sur Le Monde et Yahoo.
Finalement, je trouve une adresse vers Nation dans un magasin qui s'appelle Bébé Cash. Un changement et je me retrouve devant le magasin. C'est une question de 300 euros, donc je rentre.
Au fon du magasin, un mur entier est recouvert de paquets de couches transparents.
La vendeuse semble occupée avec une cliente. Je suis un peu perdu devant cet étalage, finalement je me retourne vers elle.
« - Excusez-moi...
- Je suis à vous tout de suite. » M...
« - Que puis-je pour vous ?
-
Il me faudrait des couches pour adulte...
-
Certainement. En changes complets ?
-
Euh... hein, oui, oui.
-
Jour ou Nuit.
-
Ca n'a pas d'importance.
-
Mais si, par exemple, si...
-
Nuit !
-
(...) En quelle taille (tandis qu'elle me scrute) ? Médium ou plutôt Large... Voilà. » Et sans me donner le temps de répondre, elle empoigne un paquet transparent de couches blanches avec des inscriptions vertes dessus.
« - Ce sera tout ?
-
Euh oui.
-
On peut améliorer la capacité d'absorption en mettant une couche droite comme celle-ci ; tenez, je vous en mets une, vous me direz la prochaine fois si ça été utile... » Je la déteste. Je suis sûr que je suis rouge de honte. Je lui tends ma carte bleue, tape le code. Pendant ce temps, elle a sorti un sac en plastique dans lequel elle glisse le paquet. Evidemment, le haut dépasse, ce qui ne l'empêche pas de me tendre le sac avec un grand sourire.
Je me retrouve donc sur le trottoir avec mon sac en plastique qui dissimule difficilement ce que je transporte. J'enlève donc ma veste que je pose de travers afin de couvrir le haut du sac et je hâte le pas vers Nation pour trouver un taxi. Hors de question de rentrer en métro avec ce truc.
Chapitre 3 - Mercredi
Le réveil sonne, il est 06 :30. Je l'arrête d'un coup sec et me lève pour prendre ma douche. Je ne suis pas plus réveillé en sortant tandis que je commence à m'habiller.
M... c'est vrai que je dois mettre cette c... de couche. Le paquet m'attend intact sur le canapé du salon. Je tire sur l'emballage et dans un bruissement de plastique, prends un change.
De retour dans la chambre, c'est la grande question. Comment ça se met ? Après avoir essayé de la mettre en me tenant debout, je m'allonge sur le lit, rabat le plastique autour de ma taille et attache les plastiques collants.
Le résultat est très moyen, ça baille mais enfin ça tient.
Je glisse mes jambes dans mon pantalon mais celui-ci refuse de se fermer sur cette épaisseur inhabituelle. Heureusement, je découvre dans le placard un pantalon d'été un peu défraîchi mais plus grand d'une taille.
Je me dépêche donc tandis que le réveil me rappelle que je suis déjà en retard.
Chaussures, blouson... Tandis que je traverse le salon, j'entends le bruit de la couche ; un pas, deux... oui il y a bien un bruit, discret mais enfin, il y a un bruit.
Je suis en retard, pas le temps de trouver une autre solution, et pas question de reculer avec 300 euros à la clef.
A peine arrivé, je glisse un rapide bonjour à l'équipe avant de m'asseoir à ma position de travail.
Suzie me fait toujours la gueule mais Suzie fait la gueule 5 jours sur 7.
A midi, je prétexte un « truc à finir » pour ne pas me joindre aux autres lorsqu'ils vont déjeuner. Je me contente donc d'un café et d'une clope. Profitant que les couloirs sont presque vides, je me rends aux toilettes, un pull emprunté à Kévin, noué autour de la taille. L'oreille aux aguets, je défais mon pantalon en essayant de ne pas faire crisser le plastique. Dilemme : dois-je défaire les collants ou essayer de baisser simplement la couche ?
Finalement, je saisis mon sexe que je tire par dessus la couche et commence à arroser copieusement la lunette et le sol avant de trouver le bon angle. Juste à ce moment là, la porte des toilettes s 'ouvre et je reconnais la voix de Paul et Valéry (sic), deux ingénieurs réseaux.
Je reste donc immobile la queue grotesquement hors de la couche, les jambes arquées. Scratch ! Un des collants du haut vient de lâcher, les conversations s'interrompent de l'autre côté. Silence (...) Finalement, les deux têtards à 8 bits quittent les WC... en éteignant la lumière.
C'est donc dans l'obscurité que j'essayais de remballer le tout. Je m'arrosais copieusement la main en rentrant mon sexe dans la couche, remontais le pantalon et sans tirer la chasse d'eau, je me précipitais dans le couloir.
C'est là que je me suis rendu compte que j'avais déconné ; l'urine avait du tomber sur mon pantalon tandis qu'il était encore descendu sur mes chevilles. La cuisse gauche été marquée d'une trace des plus éloquentes.
« - Max (je m'appelle Maxence) qu'est-ce que tu fous avec mon pull ?
-
Euh, salut Kévin, je te l'ai emprunté, j'avais un peu froid.
-
Mais tu t'es pissé dessus mec, c'est crade, file-moi mon sweat, c'est un Chevignon, faut pas déconner avec ça...
-
Tiens (lui tendant son pull tout en essayant de le dépasser pour rentrer dans le bureau), prends-le (malencontreusement, je le laisse tomber et en même temps ouvre la porte du bureau). Oups, désolé...
-
Hey... dugland ! (...) Max ?
-
Ouais ?!
-
Tu devrais faire attention, j'ai l 'impression que t'as pris du cul » Je déteste les pédés. En fait c'est pas vrai puisque mon meilleur pote est du plus pur loutre du Marais et que ma soeur est gouine, sexy et allumeuse (d'hétéros de boîtes de nuits). Mais par contre je déteste lorsque Kévin joue les hôtesses de l'air en me déshabillant des yeux.
Enfin, je réussis à atteindre ma chaise. 17h00, 17h15... Téléphone, Yves.
« - Salut !
-
Qu'est-ce que tu veux ?
-
300 euros !
-
Tu peux te brosser mon gars. Le pari, je vais le gagner.
-
Tu veux dire que tu portes...
-
Ta gueule !
-
Je veux voir.
-
Quoi ! (j'ai du hurler car plusieurs collègues se retournent) - Je veux voir sinon je te crois pas.
-
Ok, WC hommes H400 à 17h45 (Suzie passe et me jette un regard méprisant) » Je raccroche.
17h40, j'enfile mon blouson et lance un « au revoir » général en refermant la porte sur moi.
Yves m'attend dans les chiottes.
« - Montre.
-
Tu vois pas ducon que c'est rembourré (en tapant sur la couche).
-
Ca peut être n'importe quoi !
-
(ouvrant le haut de ma braguette) Voilà !
-
Je ne vois rien.
-
(déboutonnant mon pantalon et exposant 5 centimètres de couches) Là !
-
T'as mouillé ?
-
Ca va pas (commençant à me reboutonner). » C'est ce moment que Kévin choisit pour rentrer dans les toilettes.
« - Je vous dérange pas les gars. » minaude t-il.
« - Non, Maxence me montrait juste...
-
Ta gueule...
-
Keep cool les gars, les toilettes c'est intime, vous faites ce que vous voulez... Ciao Bello. » Je me tire avant de coller mon poing dans la gueule moqueuse d'Yves.
« - Une semaine mon vieux, une semaine...
-
5 jours Duschnock...
-
de boulot ! » Ce soir, la première chose que je fais en rentrant est de prendre une douche. Je file sa pâtée à Joe-Louis avant de partir pour un jogging.
Chapitre 4 - Jeudi
Cette fois, j'ai pris le temps de me préparer.
La couche est mieux ajustée, supposée être moins visible sous le jean et surtout j'ai mis un boxer par dessus ce qui annule tout crissement du plastique. J'ai aussi acheté la veille un pantalon de toile taille 46, assez ample pour dissimuler mes formes.
J'ai mis une sur-chemise sur un polo, ce qui permet aussi de cacher mon postérieur.
Finalement, j'ai troqué le blouson de cuir pour un 3/4.
Je me sens de fait plus à l'aise ce matin au boulot. Du coup même Suzie me semble plus détendue.
A midi, je déjeune avec l'équipe. Yves fait la gueule en me croisant mais ne dit rien.
Kévin est de récup' et c'est tant mieux.
A 13h00, ma chef me bipe, la cliente de la boîte de lingerie demande que je repasse.
Il paraît que j'ai commis une bourde la dernière fois. Je pars donc pour les Halles le café à peine avalé.
J'attends plus de vingt minutes avant d'être reçu.
« - Bonjour, je ne comprends pas mais j'ai des problèmes de connexion avec le réseau. Ce doit être les câbles.
-
Les câbles ?
-
Oui. Les câbles. Vous savez ce qu'est un câble. Retirez donc votre... chemise et allez voir par vous-même.
-
Non ça ira.
-
Mais si, vous serez plus à l'aise. » Comme elle me tend la main, je suis obligé de retirer ma sur-chemise. Je devine un plan foireux sans bien savoir de quoi il s'agit. Me voici donc à devoir me courber par dessus son bureau, farfouillant dans une masse de câbles enchevêtrés.
Sous l'effort, le polo est sorti du pantalon et à peine redressé, je me dépêche de le rebaisser avant de passer sur son ordinateur.
« - Désolé, je ne vois pas ce qui cloche.
-
(grand sourire) J'ai du me tromper, ce n'est pas grave.
-
C'est tout ?!
-
Oui. Merci (sourire) » Je renfile donc mes affaires et sors, passe devant la secrétaire et me dirige vers la sortie. Au moment d'ouvrir la porte extérieure, je me plaque contre le mur pour saisir ce qu'elles disent :
« (...) - Alors ?
-
Je ne crois pas que notre lingerie soit effectivement ce qu'il apprécie...
-
Comment cela ?
-
Il serait plutôt du style layette...
-
Quoi ? (rires) - Notre gentil technicien porte des couches sous ses slips.
(rires) » Rouge de honte, je quitte les bureaux en me promettant de ne plus y mettre les pieds.
De retour à la boîte, c'est la panique. Le chef de secteur a reçu une soufflante sur les stats de mars. Nous sommes donc tous à devoir reprendre tous les chiffres.
Il faut que j'aille aux toilettes pour un besoin urgent. J'arrache tous les collants pour vidanger ma vessie. Les adhésifs sont soi-disant repositionnables, mais c'est plutôt la galère pour tout remettre en place.
Il est plus de 19h00 lorsque je finis de donner mes propres chiffres. Comme je suis très bordélique, je suis très à la bourre.
C'est à ce moment que le téléphone sonne.
« - Ouais ?
-
C'est Véronique !
-
(je l'avais oubliée) Ah.
-
Tu n'as pas oublié qu'on dînait ensemble ce soir ?
-
(si) Non, bien sûr ; t'es où ?
-
Devant ton bureau !
-
(...) - Allô ?
-
(c'est la m...) Super. Je descends. » Saisissant mon manteau, je me dirige vers les ascenseurs, maudissant Véro, Yves et le reste de la terre.
Véronique est amoureuse, elle le montre en se jetant dans mes bras. Je dois la f o r c e r un peu pour qu'elle ne me v i o l e pas sur place. Nous allons manger dans une crêperie. J'ai toujours dit que si on voulait ouvrir un restau et qu'on ne savait pas cuisiner, il fallait ouvrir soit une pizzeria soit une crêperie.
J'ai envie d'uriner mais je n'ose pas aller aux toilettes. Je serre les cuisses, souriant à Véronique sans écouter ce qu'elle me raconte. Brusquement, tout m'échappe, la conversation, la serveuse qui veut savoir si on veut un dessert et ma vessie qui se vide dans la couche.
« - Ca ne va pas ?
-
Fatigué.
-
Pauvre minou, on va rentrer.
-
Je crois que je suis bon à rien ce soir (donc on va rentrer chacun chez soi).
-
On y va (où ?) » Evidemment Véro s'incruste à mon appart'. Je m'éclipse rapidement pour aller à la salle de bains me débarrasser du paquet humide et froid qui me colle aux cuisses.
Tandis que je défais la couche, la porte s'ouvre brusquement sur une Véronique tenant le paquet de couches à la main.
« - C'est...
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(...) - Mais mon lapin, pourquoi tu portes ça ?
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Petit problème de santé, euh, c'est difficile...
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T'es malade, c'est grave ?
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Non, non (sinon sûre qu'elle appelle ma mère aussi sec), c'est une... infection. C'est cela, une infection. Le médecin ne sait pas d'où ça vient mais du coup, et bien...
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Pauvre minou. (à qui le dis-tu...) - Tu m'excuses...
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Oui, pardon... » La porte se referme, je me précipite dans la douche avant d'enfiler un short.
Véronique caresse Joe-Louis. Elle me regarde venir, et dit :
« - Je t'ai préparé une autre couche sur le lit.
-
(...) Pardon ?
-
T'inquiète pas, je comprends. Et je suis sûr que tu dois être encore plus mignon juste avec ta couche. » Insensible à mes réserves, Véronique a rapidement fait de me plaquer sur le lit et de m'avoir emmailloté dans un nouveau change. Tandis qu'elle s'agenouille à côté de moi, elle place sa main sur ma poitrine avant de m'embrasser farouchement.
Je lui rends son étreinte tandis que je sens mon sexe se durcir. A travers le plastique de la couche, Véro empoigne ma verge et commence à me masturber doucement.
A chaque va-et-vient, elle me mordille la lèvre inférieure, travaillant de sa main libre mes tétons.
J'ai subitement envie d'arracher ma couche pour la prendre mais elle maintient sa pression jusqu'à ce mon sexe explose.
Elle se relève alors en riant :
« - Et interdiction d'enlever la couche.
- (...) - Je suis sûr en fait que tu adores cela. J'y crois pas tellement à ton histoire de maladie. » Et elle disparaît dans la cuisine. Quand elle revient, je dois déjà être endormi.
Chapitre 5 - Vendredi
Lorsque je me réveille, Véro est déjà partie. Son boulot est assez loin en banlieue sud. Elle m'a laissé un mot, scotché sur une couche posée sur la table de la salle à manger : « mon amour, je file. Je confirme tu es très sexy en couches même si on doit pouvoir trouver mieux que le modèle strié de vert. Ce soir, je finis tard mais on se retrouve samedi. Je t'aime. » Presque avec habitude, j'enfile la couche propre jetant celle de cette nuit collante du sperme séché.
J'arrive en retard au boulot (à l'heure pour moi). Tout le monde est déjà installé pour la grande messe hebdomadaire. Notre chef de secteur bien aimé, Serge, a déjà entamé la série des cent transparents.
Comme de fait exprès, la seule place libre était juste en face d'Yves.
Les chiffres sont mauvais ; Serge éructe. Tout le monde s'en fout et tandis qu'il s'absente pour une « communication urgente » (pause pipi), Yves lance à la cantonade « il souffre d'incontinence... verbale ce type ». Eclat de rire général, sourire d'Yves dans ma direction.
« Maxence pourra peut-être lui donner des conseils. » ; c'est Suzie qui vient de parler avec un sourire en coin. Kévin éclate de rire. Je suis sûr que je dois rougir, heureusement Serge revient.
La sacro-sainte règle de cette réunion est « nul ne doit sortir de la salle que Serge avant le terme de la réunion ». Aussi, dès 10h30, les fauteuils bougent, les jambes se croisent et les visages s'allongent. Ceux qui ont oublié de prendre leurs précautions le regrettent amèrement.
D'autant plus qu'aujourd'hui Serge est remonté, donc cela annonce une réunion qui ne devrait pas se terminer avant 12h00.
Et subitement, en regardant le visage cramoisi d'Yves, je sais que je tiens ma vengeance. Donc je me mets au « ping-pong ». « Jouer au ping-pong » est une expression que nous avons inventée. Il s'agit de relancer son interlocuteur (Serge est champion toutes catégories) en permanence par des questions qui ne sont souvent que des reformulations.
Et là, je me donne à coeur joie. A 11h45, Serge nous ré explique pour la troisième fois l'enjeu du plan qualité mis en place par le consultant d'Andersen. Je suis aux anges. Et en toute simplicité, j'inonde ma couche, me fendant même d'un sourire à Yves.
A 12h45, plusieurs de mes collègues sont au bord de la crise de nerf. Je décide d'éviter le lynchage en faisant remarquer à Serge que « la cantine va fermer ».
Comme j'ai été un bon élève, bien que surpris, il ne tarde pas à lever la séance.
(...) Ma chef est venue me voir cet après-midi. Elle m'a demandé si j'acceptais d'être d'astreinte ce week-end. Evidemment, j'ai accepté. Deux jours de boulot à la maison, cela voulait dire aussi que j'aurais fini en même temps mes cinq jours de pari.
L'après-midi avançant, j'ai eu peur que l'odeur d'urine ne devienne trop perceptible.
Je me suis donc arrangé pour m'isoler dans le bunker du troisième, prétextant des vérifications à effectuer.
En fin d'après-midi, j'ai croisé Suzie. Elle m'a demandé si j'avais des nouvelles du dossier F**. « Aucune fuite j'espère... » a t-elle lancé avant de me planter là comme un gamin pris en faute.
Finalement, j'ai fini mon job et ai décidé de rentrer à pied. J'en ai profité pour appeler Yves :
« - Salut Yves.
-
Oui ?
-
Je pourrais pas venir samedi soir.
-
T'es pris ?
-
Non je bosse...
-
(...) Et ?
-
Donc, dimanche soir, ça fera 5 jours et 300 euros.
-
Sal... » Beep, beep... Je me sens bien. En arrivant dans ma rue, je me lâche de nouveau.
C'est un peu infantile mais brusquement cette histoire de couches m'amuse.
« -Bonsoir Madame Gantz.
- Bonsoir Monsieur (pourquoi elle regarde mon pantalon ?) » M... la couche a fui à l'entrejambe. Une tache sombre commence à s'étendre le long de ma jambe droite.
Je monte donc les escaliers à toute vitesse sous le regard scrutateur de la concierge.
Salle de bains, pantalon,... face à la glace je me vois dans mon lange trempé.
L'image de Véro se superpose au reflet, je sens une érection monter. Je saisis mon sexe dans la couche et je me masturbe... Douche.
Chapitre 6 - Samedi et Dimanche
Véro est une vicieuse. Ce matin, elle m'a emmené dans une pharmacie et très naturellement a demandé s'ils avaient des couches pour adultes.
Tandis que je devenais tout rouge, elle s'est faite expliquer les différents modèles et a choisi comme marque Molicare. Elle a payé et m'a tendu le paquet.
Je me suis retrouvé à attendre devant la boulangerie avec un gros paquet de couches pour adultes à la main. Impossible de le dissimuler. Le pire a été le sourire sardonique de la concierge lorsque nous sommes rentrés.
Sincèrement, les Molicare sont beaucoup plus sensuelles. Véro et moi sommes tombés d'accord. « Tu ne les mettras peut-être pas tous les jours » mais en attendant, son jeu préféré est devenu d'aller au restau, moi en couches dans un pantalon serré et avec un sweat un peu court. Ensuite au cinéma, sa main se glisse dans l'ombre pour venir caresser le plastique.
Ce week-end fut merveilleux. Nous avons fait l'amour cinq fois d'affilée et Véro m'a obligé à rester tout le dimanche juste en couches dans l'appartement.
Quant à Yves, cela lui a coûté 300 euros et depuis il s'est pas mal calmé sur les paris à bar. Je lui ai proposé sa revanche mais il a refusé ; pourtant un mois en couche, c'est rien...
Foxxy
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